12 septembre 2011
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La puissance ne se compte guère
Sous le cycle imparfait
Des hommes et de leurs guerres
Les rives jumelles attendent
L’eau qui bat entre ses tempes
Qui bat et déplace
L’usine de glaise quand
L’empire se plie à tous
Les désastres
Garde ses cicatrices
De vieilles femmes hâlées russes et tatares
Gardent leurs chèvres
Aux prénoms de saintes
in Le Cycle de la Volga
(été 2009, à Kazan, République du Tatarstan, Fédération de Russie).