Je fus de mille idées mille combats et luttes exagérées
Les paroles portaient le plus souvent la primeur du principe sur la réalité
Mais je ne me suis jamais tu malgré ce qu’on m’avait inculqué
J’ai posé des affiches appelé à voter pour finalement ne rien changer en bien
Le mal avait du chemin d’avance
J’ai écrit des livres en ait fait imprimer plus de cent
Et l’ordre des choses avance n’étant ni plus riche ni plus pauvre
Si bien entendu riche de l’expérience d’une certaine fraternité épuisée
D’une liberté et d’amitiés sincères et véritables qui sont bien peu en nombre
Qui se sont irrémédiablement rétrécies avec l’âge et le sens du vent
Saint Julien Molin – Molette, Paris,
août 2009