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30 novembre 2018 5 30 /11 /novembre /2018 21:26

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  le mercredi  5 décembre à 14h 30
 
                 Dialogues Littéraires  au CARRE BAUDOUIN
 
 
   CHANTAL PORTILLO dialogue avec JEAN-MICHEL PLATIER
                        poète et romancier

 

Le roman

Quatre dates de 1943 à 2014 comme quatre signets, c’est bien d’une odyssée dont il s’agit dans ce roman en quatre parties, qui nous posent des questions : que savons-nous de nous et des autres ? Comment survivre dans la violence que nous inflige le monde en s e souvenant des belles choses : le rire des femmes sur le chemin, le plaisir de faire la route ensemble et par-dessus tout Homère qui nous chante le destin et l’homme et sait nous le rendre supportable.

Vacance éditions Pont9

 

Lecture à voix haute ILLich LHENORET

 

Carré Baudouin  121 rue de Ménilmontant Paris 20e 

métro Gambetta  bus 26 

ou  métro Ménilmontant    96

arrêt Pyrénees Ménimontant

-- 

 

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9 novembre 2018 5 09 /11 /novembre /2018 21:01

ANAMNESES, éditions du Mont Popey, 100 p.,

Novembre 2018, 14 euros (port inclus)

Préface d'Albert Guignard

Postface de Francis Vladimir,

Tableau de couverture et eaux fortes intérieures de Nadejda Pastoukhova

 

Préface

JEAN-MICHEL PLATIER : UNE POESIE AU FORCEPS

Apprends-nous à nous guérir,

à nous guérir les uns les autres

et à guérir le monde.

Commençons aujourd’hui même,

maintenant,

la Grande Guérison à venir.

Leonard Peltier, La prière

 

Anamnèses est à entendre pleinement dans ses trois définitions.

1) Ensemble des renseignements fournis au médecin par le malade ou par son entourage sur l'histoire d'une maladie ou les circonstances qui l'ont précédée.

2) Philosophie du retour à l’origine.

3) Prière de la messe qui suit la consécration.

En homme d’automne, appréhendant le verdict de l’hiver, Anamnèses résonne en cri soudain adressé à soi-même : « ASSEZ ! »

Le cri de l’adulte surmené qui tente de se ressourcer au cri premier du nouveau-né qu’on a sorti au forceps pour l’obliger à naître un 19 janvier 1964.

Et plus loin encore, jusqu’aux eaux amniotiques d’avant son propre déluge originel.

Le voyage mémoriel se fait par étapes datées ; à l’initiation du poème…

Car poète, Jean-Michel Platier l’est, de par son enfance et sa jeunesse passées dans la campagne du haut-Jura dont l’esprit du lieu l’habite à jamais.

Il l’est de par la mémoire de ses ancêtres paysans, guérisseurs ; des ancêtres capables de lever le feu à distance.

En chaman des mots, le poète lui peut guérir la brulure d’exister ; au-delà de notre espace-temps.

Quand,

Mourir n’est pas nouveau dans cette vie

Mais vivre, assurément, n’est pas plus neuf[1]

ou que,

Déserter la vie n’est pas très difficile.

Commander la vie demande plus d’effort[2].

Il lui suffit alors à son tour d’imposer quelques mots sur ceux de deux poètes russes, comme on retire la corde au cou, de l’un, et l’on retient la main portant un révolver au cœur, du second. Car,

Survivre

n’est certes

pas si nouveau

mais vivre

vivre

avec plaisir

l’est d’autant.

 

Aussi qu’Anamnèses consacre en ce sens Jean-Michel et son lecteur avec.

Albert Guignard

 

 Postface

La poésie, éperon, espérance, épreuve de la vie, avec ces mots d’Andrée Chedid on aborde à la poésie.

Dans son recueil Anamnèses, Jean-Michel Platier semble brouiller les cartes. Pourtant, derrière les dates récurrentes qui nous font avancer dans son texte, imperceptiblement se dévoilent par des mots rêches des pans entiers de sa poésie. L’étrangeté des souvenirs esquissés, les rumeurs d’une vie d’homme, la marge du temps, la morne habitude du quotidien, l’attente interminable sans choix ni couronne, la croyance absolue en l’enfant c'est-à-dire à la rédemption que Jean-Michel Platier appelle de tous ses maux de poète, conduisent le monde tel qu’il est, tel qu’on le vit aujourd’hui, à sa perte, à moins de le reconstruire avec obstination, patience et amour.

Tentative sans cesse réitérée que celle du poète qui triture le réel des mots, les détourne du sens premier, pour ouvrir une autre voie possible, d’autres territoires à sa vie et à la nôtre.

Ce sont ces essais, remaniements, reprises, ratures, ces destructions peut-être, toujours empruntés à André Chedid, qui caractérisent Anamnèses.

Et voici que la noirceur apparente, flux désemparé des mots qui essaye de rendre compte du destin, voici qu’elle s’éclaire et qu’un élan vital nous cueille à son tour pour exalter la vie.

Francis Vladimir, le 24 janvier 2017

 

Parution, Anamnèses, éditions du Mont Popey novembre 2018
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19 octobre 2018 5 19 /10 /octobre /2018 15:10

Paroles d’un lecteur de

         L’ART DE L’AUDACE

      Jean-Michel Platier – Thierry Vautrin  

             272 pages - 25 septembre 2018

 

« L’Art de l’Audace », écrit à deux mains par Jean-Michel Platier et Thierry Vautrin, est un indispensable outil pour toutes celles et tous ceux, qui ne sachant par quel bout commencer et quel que soit leur âge, ont à cœur de se réaliser, au sens le plus large, en se donnant les moyens de leur(s) ambition(s).

 

Ce pédagogique manuel se distingue sans conteste des nombreux autres livres du genre, préférant traiter de l’importance d’oser aller vers ses aspirations profondes à tout moment de l'existence… plutôt que de faire l’éloge de la matérielle réussite.  

 

Oser le premier pas qui détourne d’un chemin que l’on croyait tout tracé, puis continuer d’avancer pas à pas vers son objectif pour finir par l’atteindre, ou à défaut s’en rapprocher, ne fait rien perdre de « la vie d’avant »… S’épanouir, c’est ne rien perdre, c’est se mettre un peu plus en phase avec ce que l’on est et ce qui nous entoure pour vivre mieux le quotidien.

 

Il faut être audacieux pour faire le premier pas ! Ce « saut » vers l’inconnu… cet inconnu qui fait peur… cette peur de l’échec… ou du refus. Jean-Michel Platier et Thierry Vautrin ne s’y trompent pas, il y a bien un « Art de l’Audace ». Atteignent leurs objectifs ceux qui s’y sont préparés, ont osé et, avec méthodologie, s’y sont tenus. C’est du reste pourquoi il ne faut pas confondre téméraires et audacieux. « La chance ne sourit qu’aux esprits bien préparés » écrit Louis Pasteur pour prolonger l’esprit originel de la formule de Virgile dans l’Énéide.

 

C’est cette préparation puis cette méthodologie que nous expliquent en toute clarté, simplicité et intelligence, les deux auteurs empreints d’humaniste sensibilité. 

 

« L’Art de l’Audace » : Un travail aussi précieux et singulier qu’incontournable. 

 

Fabrice Raina

Parution L'Art de l'audace - Un papier de Fabrice Raina
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13 octobre 2018 6 13 /10 /octobre /2018 16:01

Bonjour,

Je vous informe de la publication de mon tout dernier livre aux éditions du Mont Popey : ANAMNESES.

Un livre de poédésire qui s’inscrit dans la lignée de ceux que j’ai publiés aux éditions Bérénice, Tribord, Arcadia, La passe du vent… depuis bientôt 30 ans et après la publication cette année de mon roman VACANCE en mars aux éditions Pont 9 et de L’Art de l’audace, un essai de développement personnel écrit avec Thierry Vautrin et publié aux éditions MarieB en septembre !

 

« Anamnèses »

Préface d’Albert Guignard - Postface de Francis Vladimir

Peinture et dessins de Nadejda Pastoukhova

 

Souvent, un mot, une phrase, une idée, un vers peut tout déclencher 

BON DE RESERVATION à transmettre à Jean-Michel Platier : 11, rue de la Glacière 75013 Paris

Prénom : …………………………………………………………………………………………

Nom : ……………………………………………………………………………………………

Adresse : …………………………………………………………………………………………

Code postal : …………………… Ville : …………………………………………….................

Je commande ……… exemplaire(s) du livre « Anamnèses »

de Jean-Michel Platier au prix de 14 €.

……….. x 14 € = …………. €

(règlement par chèque bancaire à l’ordre de Jean-Michel Platier ; le règlement ne sera encaissé qu’après expédition du colis postal)

 

UNE POESIE AU FORCEPS

Apprends-nous à nous guérir,

à nous guérir les uns les autres

et à guérir le monde.

Commençons aujourd’hui même,

maintenant,

la Grande Guérison à venir.

Leonard Peltier, La prière

 

Anamnèses est à entendre pleinement dans ses trois définitions.

1) Ensemble des renseignements fournis au médecin par le malade ou par son entourage sur l'histoire d'une maladie ou les circonstances qui l'ont précédée.

2) Philosophie du retour à l’origine.

3) Prière de la messe qui suit la consécration.

En homme d’automne, appréhendant le verdict de l’hiver, Anamnèses résonne en cri soudain adressé à soi-même : « ASSEZ ! »

Le cri de l’adulte surmené qui tente de se ressourcer au cri premier du nouveau-né qu’on a sorti au forceps pour l’obliger à naître un 19 janvier 1964.

Et plus loin encore, jusqu’aux eaux amniotiques d’avant son propre déluge originel.

Le voyage mémoriel se fait par étapes datées ; à l’initiation du poème…

Car poète, Jean-Michel Platier l’est, de par son enfance et sa jeunesse passées dans la campagne du haut-Jura dont l’esprit du lieu l’habite à jamais.

Il l’est de par la mémoire de ses ancêtres paysans, guérisseurs ; des ancêtres capables de lever le feu à distance.

En chaman des mots, le poète lui peut guérir la brulure d’exister ; au-delà de notre espace-temps.

Quand,

Mourir n’est pas nouveau dans cette vie

Mais vivre, assurément, n’est pas plus neuf[1]

ou que,

Déserter la vie n’est pas très difficile.

Commander la vie demande plus d’effort[2].

 

Il lui suffit alors à son tour d’imposer quelques mots sur ceux de deux poètes russes, comme on retire la corde au cou, de l’un, et l’on retient la main portant un révolver au cœur, du second. Car,

Survivre

n’est certes

pas si nouveau

mais vivre

vivre

avec plaisir

l’est d’autant.

 

Aussi qu’Anamnèses consacre en ce sens Jean-Michel et son lecteur avec.

Albert Guignard

[1] Vers écrits avec son sang par le poète Sergueï Essenine, avant de se pendre, en 1926,

[2] et qui inspirèrent Maïakovski dans son poème hommage.

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Postface

La poésie, éperon, espérance, épreuve de la vie, avec ces mots d’Andrée Chedid on aborde à la poésie.

Dans son recueil Anamnèses, Jean-Michel Platier semble brouiller les cartes. Pourtant, derrière les dates récurrentes qui nous font avancer dans son texte, imperceptiblement se dévoilent par des mots rêches des pans entiers de sa poésie. L’étrangeté des souvenirs esquissés, les rumeurs d’une vie d’homme, la marge du temps, la morne habitude du quotidien, l’attente interminable sans choix ni couronne, la croyance absolue en l’enfant c'est-à-dire à la rédemption que Jean-Michel Platier appelle de tous ses maux de poète, conduisent le monde tel qu’il est, tel qu’on le vit aujourd’hui, à sa perte, à moins de le reconstruire avec obstination, patience et amour.

Tentative sans cesse réitérée que celle du poète qui triture le réel des mots, les détourne du sens premier, pour ouvrir une autre voie possible, d’autres territoires à sa vie et à la nôtre.

Ce sont ces essais, remaniements, reprises, ratures, ces destructions peut-être, toujours empruntés à André Chedid, qui caractérisent Anamnèses.

Et voici que la noirceur apparente, flux désemparé des mots qui essaye de rendre compte du destin, voici qu’elle s’éclaire et qu’un élan vital nous cueille à son tour pour exalter la vie.

Francis Vladimir

 

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29 septembre 2018 6 29 /09 /septembre /2018 16:55
L’Art de l’audace c’est à partir d’aujourd’hui dans toutes les librairies de France et sur tous les sites internet de vente en ligne.
 
Qu’attendez-vous maintenant pour vous lancer, pour vous donner une chance d’atteindre vos objectifs, pour mettre en avant vos talents ?
 
Et si vous n’attendiez que L’Art de l’audace pour devenir celui que vous avez toujours rêvé d’être ?
L'Art de l'audace en librairie !!!!
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21 septembre 2018 5 21 /09 /septembre /2018 21:43
Mon ami Thierry Renard, tout à tour comédien, chanteur, animateur de revue (poétique !) mais surtout poète et éditeur a lu VACANCE, roman, cet été ; voici ce qu'il m'en a dit ces derniers jours :
 
J’ai lu ton faux-vrai roman, Vacance.
J’étais pourtant parti avec un a priori négatif, te connaissant d’assez près.
De pas trop loin, en tout cas.
Mais j’ai aimé ton livre à la prose nerveuse et aux accents « aragoniens ».
Tu as mené ta barque,
tambour battant.
Oui, Jean-Michel, j’ai aimé ton style, il m’a porté. Les proses te vont plutôt bien. 
 
Thierry RENARD
 
 
Parution - Les échos de VACANCE, roman
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26 août 2018 7 26 /08 /août /2018 09:25

L’Art de l’audace est un ensemble d'outils pour tous ceux qui ont un ou des objectifs, pour concrétiser leurs passions et talents.

Ce livre s'adresse au collégien, au lycéen, à l'étudiant, au salarié, au chômeur, à l’entrepreneur, à la mère au foyer, au senior, au retraité... bref, à toute personne qui, de 11 à 105 ans, souhaite exercer toute son audace pour aller là où elle veut aller vraiment.

En librairie le 14 septembre !

Parution : L'Art de l'audace
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20 juillet 2018 5 20 /07 /juillet /2018 18:53
Parution - le 14 septembre 2018 : L'art de l'audace
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29 juin 2018 5 29 /06 /juin /2018 21:56

Jean-Michel, j’ai beaucoup aimé ton livre. 

Il est sans concession, on aime ou pas, il est comme toi. Les mots ne servent pas à décorer l'espace, ils sont là comme des ancrages de survie, des besoins dans l’urgence de dire le monde, comme soldes de tous compte. C’est parfois tranchant, parfois surplombant, souvent c’est un plaisir, quelques phrases qui tournent et qui virent pour laisser une trace élégante, surprenante, juste.
 
Il est construit. La ténuité du lien entre les histoires nous en fait oublier de temps en temps la coparentalité, mais ça agrège quand même, ça se cumule en un compte rond. Tu as réussi je trouve le plis un peu balzacien de la fresque à fil rouge commun, avec ces quatre jalons dans le dernier siècle grand et abominable. La boule à facette fini par refléter un peu de la matière homérique, de l’odyssée partagée, de l’Humanité en commun, et c’est chouette, c’est politique. 
 
Enfin c’est toi, mon ami, dans les longs monologues d’enfants trop tôt grandi, l’absurdité décrite du manque de liberté, la clarté un peu aveuglante du plaisir. De temps en temps j’aurais aimé que les choses soient évoquées plutôt que dites, mais peut être que ton livre témoigne aussi qu’il est grand temps d’en finir avec l’âge des euphémismes :)

JR

Mon roman VACANCE : critique d'un lecteur, JR
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23 juin 2018 6 23 /06 /juin /2018 16:16

EPISODE n°12

 

Quelle est la place de la mémoire dans la nôtre ?

Le choix est en effet des plus vastes : entre celle à court terme, celle réécrite sans cesse du fait des évolutions de la vie quotidienne même, celle ancrée et certaine, celle évanescente qui tend peu à peu à s’estomper au fur et à mesure que les années puis les décennies se passent, que les visages des aïeux s’oublient et disparaissent, dans cette lente et inexorable érosion du temps qui passe.

Entre la mémoire sûre et certaine, qui ne repose cependant que sur des croyances, des interprétations de mouvements, paroles, attitudes, postures, qui touchent, blessent ou émeuvent, mais qui marquent parfois durablement…

Entre une mémoire qui prend ses aises et qui, reconnaissons-le, se réécrit selon notre bon vouloir, se repositionne en fonction de notre évolution personnelle, notre transformation – physique, psychique… – pour ne retenir que l’essentiel sinon la petite part des choses, le plus petit dénominateur commun des souvenirs communs ?

Et quelle peut bien être la place de la mémoire dans ces souvenirs que nous avons tous en commun ?

Serait-ce un leurre de croire qu’il existe des souvenirs partagés ? Que peuvent d’ailleurs partager deux êtres humains ? Et plusieurs… ? Est-ce que cela est objectivement possible ou bien l’on touche le registre de l’intime, de ce qui ne peut être en aucun cas commun à deux personnes, ni bien sûr être partagé…

La mémoire est ce que ce que l’on se dit, se raconte… et il n’y a que nous pour le formuler et l’entendre ou encore le ressentir. Ce qui existe en commun est infime. Et c’est bien  là la définition de la nature humaine : seule, solitaire mais qui à la fois ne peut vivre seule, solitaire.

Notre mémoire, qu’elle soit fausse ou vraie, fondée ou inventée, réelle ou imaginée, nous appartient à nous seule. Vouloir la faire partager est une gageure.

C’est pourquoi on écrit des romans ! Pour clamer une vérité issue de notre propre mensonge. Qui peut exister, ou pas… C’est pourquoi j’ai écrit ce roman, pour raconter ce qui n’a pas existé.

Je me souviens avoir conclus un de mes ouvrages de poésie par cette formule : Imaginaires, imaginez !

C’est peut-être en imaginant ce qui pourrait exister que l’on pourrait se créer en fait un imaginaire et une mémoire commune. Pour tenter de dire qui nous avons été et qui nous sommes. En attendant de définir qui nous serons, éventuellement, un jour…

 

VACANCE, roman, publié en mars 2018 aux éditions Au Pont9

(toute commande peut se faire en libraire, FNAC, points de ventes… vous serez livré dans les 48 à 72 h plus tard).

 

Parution : VACANCE, roman !
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