28 septembre 2012
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In quarto
in 4 quatre
C’est une partie ombragée
qui supporte l’indifférence
et les amours mortes
avant la sortie vers le monde
réel sordide empli de promesses
jamais tenues par l’ogresse
puis l’on part
et il ne se passe rien
de vraiment important
les lumières s’éteignent
toujours à la même heure
sans aucune parole de tendresse
le sommeil est lourd
la nuit agitée
et le jour se réveille ankylosé
partout le même ennui
et des femmes des hommes
qui marchent au même pas
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