2 juin 2011
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II
Un monde d’orages et de tempêtes le noir sur tes larmes
Et le plaisir d’un paradis blanc ce long tunnel d’où tout peut éclore
Quand ne se comptent plus les heures le temps n’existe pas
Sans vie ni mort on attend l’indescriptible horreur sans nom partir
Entraîné vers l’infime point
L’espace se résume dans le vœu de partance pour toujours
Dans ce toujours éteint il faut te rejoindre un jour la couleur